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L’Europe s’engage en Bourgogne- Franche-Comté

Modernisation de l’UCR

En 2021, L’Union européenne a cofinancé au titre du FEDER un projet visant à moderniser l’Unité Centralisée de Reconstitution (UCR) des chimiothérapies anticancéreuses. Celle-ci permet de réaliser jusqu’à 20.000 préparations par an afin de répondre aux besoins de la population du territoire dans la prise en charge du cancer.
Le Centre Hospitalier a reçu une subvention de 713.653,79 € pour ce projet de modernisation de l’Unité Centralisée de Reconstitution (UCR) des chimiothérapies anticancéreuses.

 

Amélioration du fonctionnement quotidien des services

L’Union européenne a attribué, en décembre 2022, au Centre Hospitalier William Morey, une subvention au titre du Fonds de Modernisation et de l’Investissement en Santé (FMIS) d’un montant de 356 626 €.
Cette subvention vise à améliorer rapidement et significativement le fonctionnement quotidien des services en remettant à niveau les investissements courants qui ont un fort impact sur les conditions de travail des personnels et sur la qualité des soins.
Cette subvention est répartie entre les 8 pôles cliniques et médicotechniques de l’établissement à partir de janvier 2023.

 

Achat des infrastructures de stockage de données du GHT

L’Union européenne a attribué, en 2023, au Centre Hospitalier William Morey, une subvention au titre du du FEDER d’un montant de 2 millions d’euros pour un projet relatif aux infrastructures informatiques et à la surveillance biomédicale.

L’utilisation massive de la numérisation, d’objets connectés ou de l’intelligence artificielle révolutionne la manière dont la direction informatique CHWM doit appréhender l’architecture du stockage de données. Cette évolution conduit à devoir renouveler et augmenter cet espace de stockage impérativement pour assurer le simple fonctionnement de l’hôpital. Cette mise à niveau informatique constitue le socle indispensable pour assurer le fonctionnement des applications existantes et pour déployer des outils de surveillance biomédicale des patients dans le but d’améliorer la qualité de leur prise en charge, la sécurité et la diminution de la charge mentale des équipes soignantes.

L’allongement de la durée de vie de la population française a son corollaire avec des patients hospitalisés de plus en plus âgées avec de nombreuses comorbidités. Pour améliorer la qualité et la sécurité des soins des patients hospitalisés en unité conventionnelle tout en limitant la charge de travail des personnels soignants, de nombreux hôpitaux développent des solutions de  surveillance légère d’étage (dît « Low Level Monitoring » LLM).

Dans ce contexte, le numérique est un levier de transformation pour les établissements de santé à plusieurs égards (Ma Santé 2022). Sur le plan du système d’information qui doit s’adapter aux pratiques médicales pour apporter toute satisfaction aux utilisateurs et améliorer la sécurité des patients comme l’industrie aéronautique  a pu la développer depuis 50 ans. L’automatisation de certains processus doit pouvoir libérer du temps soignant et améliorer la qualité de prise en charge (Crossing the Quality Chasm : A New Health System for the 21st Century – Institute of medecine US – 2001).

La production de données numériques massives par des dispositifs médicaux connectés embarquants, pour certains, des outils d’intelligence artificielle, révolutionne la manière dont les directions informatiques de nos établissements du GHT doivent appréhender l’architecture du stockage de leurs données. Cette évolution conduit impérativement à renouveler l’espace de stockage de nos infractructures pour l’usage courant et préparer les futurs usages des données à l’hôpital.

Une solution de surveillance connectée et centralisée permet de répondre aux enjeux de transformation de nos structures, d’améliorer la qualité et la sécurité de prise en charge de nos patients, de limiter la charge mentale de nos soignants et constitue la première étape de nos recherches cliniques.

La généralisation de la surveillance patient à l’échelle d’un établissement permet de prévenir précocement d’une dégradation de l’état du patient (score précoce dît « Early Warning Score » EWS). Cette configuration hospitalière qui repose sur « 1 lit-1moniteur » a permis de limiter le risque d’infection nosocomiale durant la période de crise sanitaire COVID. Les paramètres du patient sont disponibles en temps réel sur des dispositifs personnels mobiles portés par les soignants susceptibles de recevoir des alertes. Les données sont automatiquement reportées dans les dossiers informatisés permettant une plus grande disponibilité des soignants pour les patients, par la diminution des tâches sans valeurs ajoutées (relevé une tension, une température à fréquence régulière par exemple).

Cette pratique largement répandue dans les pays anglo-saxon permet de limiter la morbi-mortalité dans les hôpitaux, de réduire la durée de séjour dans les services de réanimation, d’améliorer l’indice de confiance des patients dans le service d’hospitalisation et pour les soignants d’éviter de perdre du temps précieux à reporter des données qui peuvent être intégrées automatiquement dans le DPI et de limiter par incidence les erreurs d’identitovigilance. Les équipements biomédicaux essentiels à la prise en charge des patients doivent enfin être géo localisés pour être facilement mobilisables par un soignant ou pour une organisation locale ou territoriale.

 

Remplacement de l’éclairage du bloc opératoire

L’Union européenne a attribué, en 2023, au Centre Hospitalier William Morey, une subvention au titre du du FEDER d’un montant de 165 000 euros pour un projet relatif au remplacement de l’éclairage du bloc chirurgical.

Ce dernier permet de renforcer la qualité des prestations offertes aux opérateurs chirurgicaux. Le bloc opératoire pluridisciplinaire du centre hospitalier William Morey a vocation à répondre aux besoins en chirurgie des patients du territoire. Le renouvellement proposé facilitera l’intégration de nouvelles pratiques chirurgicales.

L’éclairage opératoire est fondamental dans le bon déroulement d’une intervention chirurgicale, il permet aux opérateurs d’avoir une exposition sans ombre. Après 11 ans d’exploitation de nos scialytiques au xénon, le centre hospitalier souhaitait doter ses salles d’interventions d’équipement à LED qui présentent de nombreux avantages :

  • réduction des zones d’ombre,
  • réduction de la consommation d’énergie,
  • réduction de l’émission de chaleur et amélioration du confort chirurgical,
  • durée de vie plus longue des ampoules LED.

Remise à niveau de l’installation de routage d’images au bloc opératoire

L’Union européenne a attribué, en 2023, au Centre Hospitalier William Morey, une subvention au titre du du FEDER d’un montant de 160 000 euros pour la remise à niveau de l’installation de routage d’images au bloc chirurgical.

Cette dernière permet de renforcer la qualité des prestations offertes aux opérateurs chirurgicaux. L’évolution technologique proposée facilitera l’intégration de nouvelles pratiques chirurgicales. Ce programme implique de recâbler entièrement les bras chirurgicaux, de remplacer les moniteurs de salle et d’ajouter de nouvelles platines de connexion.

Ces travaux permettent de fournir aux équipes chirurgicales :

  • la possibilité de réaliser des interventions en chirurgie coelioscopique avec une définition optimale 4K,
  • la possibilité de partager les images opératoires dans un but de formation,
  • la possibilité d’intégrer ces images dans le dossier patient (exhaustivité du dossier médical).

 

Chaine pré-analytique

L’Union européenne a attribué, en 2023, au Centre Hospitalier William Morey, une subvention au titre du FEDER d’un montant de 666 666.66 €.

Cette subvention concerne la chaîne pré-analytique. Celle-ci vient renforcer la capacité d’accueil et l’automatisation du traitement des examens de biochimie sur le plateau technique de biologie du centre hospitalier William Morey.

Cette installation s’inscrit dans la récente création du Centre de Biologie de Territoire (CBT) né de la fusion entre les laboratoires du Centre Hospitalier de Chalon et du Centre Hospitalier de Montceau les Mines.